mercredi, décembre 20, 2006

Comme une chose et son contraire

Il fallait bien la tourner, la page. Pour la millième fois. Derrière un barrière de nouvelles amours, je croyais possible, mais tout s'effrite, encore et encore, et je ne mène pas mon sevrage à bien plus de 24h d'affilée. Comprenne qui voudra, peu de gens donc, mais au fond, je n'ai même pas l'envie d'être comprise. Parce qu'il y a des douleurs bien trop forte, et bien trop stupides pour être partagées.
Le dernier coup de pied à mon chateau de sable, je l'ai donné moi même, dans un état second et comme toujours malgrè moi. Il paraît que c'est mieux ainsi. Pour la millième fois, celle ci sera la bonne, puisque tout est détruit, pour de bon cette fois. Je me contenterais de miettes et ferais une jolie mosaïque, que je ferais tenir sur ma peau, pour ne pas oublier que.


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Retour en arrière, quelque mois suffisent, pour comprendre, ou justement ne pas comprendre. Déchéance et le reste aussi, ce que je n'admet pas chez les autres, ce que je déteste chez moi. Et l'image du bonheur me file la gerbe. Je vis par habitude.

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Pourtant, hier dans le froid, j'ai cru que je croyais. Pourtant mon sourire y croyait aussi. Pourtant j'ai presque envie d'y croire. Pour Lui. Pour Eux. Pour brûler cette foutue page et cracher l'encre que je ravale, l'ancre qui me tire vers le fond. Pour arrêter ma cyber-dépression. Et au fond, chapitre sans grand intêret. Donc.


Epilogue.




Pensée du jour: la solution ---> une heure au four, th°400
Météo: Averses et quelques éclaircies

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